Jeux et stratégies / 2022
Centre d'art Le Garage et Château d'Amboise / France
Curator : Clémence Thébault
Photo © Hélène Vivier / ville d'Amboise
Flags on the sculpture of the castle:
Auguste Herbin, 1964 / Hilma af Klimt, 1915 / Lazlo Moholy Nagy, 1922-1913 / Sonia Delaunay, 1964 / Sophie Taeuber-Arp, 1954 / Bart Van Der Leck, 1918 / Verena Loevensberg, 1977 / Varvara Stepanova, 1923-1924
Flags inside the Art Centre:
Joseph Albers, Kupka, Lazlo Moholy Nagy, Liubov Popova, Malevitj, Mondrian, Rotchenko, Sonia Delaunay, Sophie Taeuber Arp, Theo Van Doesburg, Varvara Stepanova, Verena Loewensberg
“Any construction by definition is a set, necessarily articulated from a multitude of elements linked in a single-piece system”. David Georges Emmerich (1925–1996, architect)
Creative game, composition game, spatial dupe game, Vincent Mauger's work oscillates between the physical world and the virtual world. In his approach of the place, space, architecture, he brings out a question confronting a real space and the construction of a mental landscape. The place, receptacle of the works, is the starting point of a strategic and tactical confrontation between matter and space. He fills it, he empties it, he builds it, deconstructs it or reconstructs it by relying on geometric shapes in volume, often monumental, which he deconstructs then recomposes.
The exhibition gives a glimpse of plots of landscape that can be appropriated or re-appropriated, opening the field of possibilities to fictitious or realistic spaces.
« Toute construction par définition est un ensemble, nécessairement articulé d’une multitude d’éléments liés en un système d’un seul tenant ». David Georges Emmerich (1925–1996, architecte)
Jeu de création, jeu de compositions, jeu de dupe spatial, le travail de Vincent Mauger oscille entre monde physique et monde virtuel. Dans son approche du lieu, de l’espace, de l’architecture, il en dégage une problématique confrontant un espace réel et la construction d’un paysage mental. Le site, réceptacle des œuvres, est le point de départ d’un affrontement stratégique et tactique entre matière et espace. Il l’emplit, il le vide, il le construit, le déconstruit ou le reconstruit en s’appuyant sur des formes géométriques en volume, souvent monumentales, qu’il déstructure puis recompose.
L’exposition laisse entrevoir des parcelles de paysage appropriable ou ré-appropriable ouvrant le champ des possibles sur des espaces fictifs ou réalistes.